Le PPLP (programme de recherche em littérature populaire a monté une bibliothèque qui contient enviro 6000 cordels. L'objectif c'est de digitaliser tous les cordels, il y en a actuellement prés de 500 qui le sont. Elle me montre un cordel sur Padre Cícero puis celui de José Pacheco
"A chegada de Lampeão no inferno" tous les deux digitalisés , et comme il y a 7 xylogravures différentes selon les éditions, toutes les couvertures l'ont été.
Queqlues pièces de musées aussi qui datent de des années 50 et le cordel le plus curieux c'est celui écrit à la main et des cordels en braille parce que c'est à João Pessoa que Marco di Aurélio a lancé l'idée du cordel en braille , en apprenant qu'au Portugal, Dom João IV avait fait une loi décrétant que seuls les aveugles auraient le droit de vendre des cordels , ce fut un tollé mais il ne revint pas sur sa décision et la loi fut appliquée prés de 100 ans. Marco di Aurélio pensa que c'était un juste retour des choses que de donner accés à la littérature qu'ils avaient préservé dans un sens pendant un siécle.
Elle m'explique aussi que sur la fiche bibliographique, PPLP est le code utilisé pour l'enregistrement à la bibliothèque centrale et qu'il existe deux façons de répertorier l'auteur, la traditionnelle en haut de la fiche avecle nom de famille avant le prénom puis en bas de la fiche, c'est l'inverse on commence par le prénom et vient le nom aprés car dans la littérature populaire, on connaît plus souvent le poéte par son prénom ou alors parce que le proprio de la maison d'éditions avait mis son nom sur la couverture et que le nom de l'auteur réel est en deuxième page, ce fut le cas de José Martins de Althayde entres autres, d'avoir racheté la maiosn d'édition il s'octroyait le droit de "signer" le cordel. La fiche fait mention aussi du nombre de pages, de l'auteur de la xylogravure ou illustration de couverture.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire